Étude de la fiscalité selon l’activité de l’entreprise

En règle générale, il existe deux types de fiscalités : le IR ou la fiscalité tirés sur les revenus de la société en un an, et le IS ou la fiscalité de la société. Le tableau est donc très clair, qu’il faut maintenant comprendre sa signification.

Vous avez le droit de choisir votre mode de fiscalité

Qu’importe le type de société que vous créez et son statut, vous devrez payer de la fiscalité. Pour une entreprise individuelle, vous calculez votre impôt annuel selon vos revenus. Pareille pour les microentreprises, telle que les freelances, etc., ce sont vos revenus qui définissent votre impôt. Pour une société qui dispose un statut de EURL, l’impôt s’abat sur les revenus de l’entreprise durant un an, puis sur l’étiquette de la société. Pour les autres entreprises : SA, SARL, SAS, SASU, ils payent l’impôt synthétique pour sa société durant 5 ans, sans compter les revenus obtenus.

 

La fiscalité obtenue par la TVA

À chaque fois que vous vendez ou achetez un produit et que vous utilisez le statut de votre société, la TVA est affichée sur la facture et calculée à partir du prix total de la marchandise. Logiquement, si vous suivez la procédure, les TVA ont été payées par vos clients, ce qui dicte que le payement des impôts tiré sur vos revenus ne sort pas de la caisse de l’entreprise. En observant la facture de vos fournisseurs, vous avez remarqué que c’est vous qui payiez leur TVA. Si vous avez des difficultés à le payer, vous pouvez demander une franchise de la part de l’État où vous êtes afin d’alléger la somme. Dans cette condition, si vous obtenez la franchise, vous n’avez pas le droit de mettre de la TVA sur la facture que vous envoyez à vos clients et vous n’en recevrez pas aussi dans vos achats. Néanmoins, pour bénéficier de cette franchise, il faut effectuer quelques démarches. 

Alors, la démarche la plus rassurante lors de la création du statut de l’entreprise est de demander l’avis d’un comptable ou d’un économiste.